Arrosoirs & sécateurs

Un jardin breton en janvier 2010

Déjà 3 ans que cette rubrique existe ! Le temps, décidément, passe trop vite.

J’ai fait quelques modifications (texte et plan du jardin plus complets) à la page de présentation du jardin. De plus, pour être plus clair dans mes rubriques, quand je parlerai d’un coin précis du jardin, je mettrai un petit plan explicatif

Vendredi 1er

Ne pas faire d’excès au réveillon, permet d’être à peu près fringant le 1er janvier et de faire un petit tour au jardin...
- Plantation d’un rosier bouturé il y a quelques mois. C’est un rosier grimpant rouge, très parfumé, vu dans un jardin d’une amie. Son nom ? Peut-être ’Etoile de Hollande’... mais ce n’est pas certain.
- Transplantation du rosier ’Colette’. Là où il avait été planté il y a quelques années, il ne s’est jamais plu et depuis, le Koelreuteria a pris de l’ampleur, si bien qu’il s’est retrouvé à mi-ombre et en plus étouffé par les arbustes voisins. Il était temps d’agir. On verra bien !
- Nettoyage avec la binette d’un bout du trottoir (il faudra continuer car il y a bien une quarantaine de mètres !).

Samedi 2

Chômage technique... Vous rigolez : pas envie de finir congelé, les pieds et les mains scotchés dans la terre gelée !!!
Quoique... j’ai tout de même bravé le froid sibérien pour faire quelques photos de plantes givrées.

Lundi 4

Le jardin a pris un coup de froid et moi... un coup de mou !
Il va falloir que je me secoue, mais c’est tellement bon d’être au chaud quand dehors on se gèle !

Mercredi 6

Dans le jardin il fait toujours aussi froid et moi, même si je suis un peu moins mollasson, il m’est bien difficile de faire quoi que ce soit dehors.
Des plantes ont un petit air tristounet : l’helxine est toute noire à certains endroits, le Melianthus pendouille lamentablement mais son pied est recouvert de 10 cm de BRF, le Camellia ’Cinnamon Cindy’ a des fleurs marron clair (mais il y a d’autres boutons en vue) etc.
Comme je sens un peu le renfermé et que le soleil est superbe, je vais chercher du goémon. Je rapporte 2 sacs... péniblement car il ne reste que celui de plusieurs jours en bordure de la plage (le reste est reparti). Un peu de tri est nécessaire pour ne pas rapporter en même temps des bouchons de plastique, des sacs plastique ou des bouts de cordage nylon ! Mais pourquoi s’énerver pour si peu ? Les gamins des écoles ne viendront-ils pas ramasser les "merdes" (je n’ai pas trouvé d’autres mots appropriés) des adultes pour accueillir les touristes ? Il n’y a pas de boulettes de mazout, alors franchement pourquoi se plaindre ?

Jeudi 7

Par ces temps de froidure, il ne m’est pas possible de rester cloitré à attendre que çà passe. Je retourne chercher (sur une autre plage) 3 sacs de goémon. Cà occupe et çà aère...
Mais au retour, une petite pancarte me saute aux yeux : "Poney-club". En une fraction de seconde, mes neurones frigorifiés s’agitent... Branle-bas de combat... Une association d’idées traverse de façon fulgurante mon cerveau transi. Poney-club... équitation... chevaux... crottin... paille... fumier... fumier de cheval... jardin...
Coup de frein... clignotant... je tourne... etc. (en tout, j’évalue à 9 dixièmes de seconde... trop fort non ?)
Bref, quand je veux, je peux aller chercher du fumier de cheval... autant que je veux. Et c’est à 4 ou 5 kilomètres ! Quand je pense que la toute première fois, il y a une dizaine d’années, j’allais vider des box à plus de 30 km d’ici !!!
Je sens que les mois de janvier et février vont être bien occupés. C’est il y a 3 ans que j’en ai mis la dernière fois (voir janvier 2007). Mais il faut attendre le dégel évidemment.

Samedi 9

Et le jardinier, derrière ses carreaux, regardait désespéré, la neige tomber, en se demandant quand il pourrait aller chercher du fumier de cheval...


Lundi 11

Ouf, la terre est dégelée. Pour combien de temps ? Il ne fait pas bien chaud ce soir, on prévoit même de la neige à nouveau dans le Morbihan. C’est terrible tout de même : il fait froid en hiver ! D’ici que ce soit encore à cause du réchauffement climatique !!!

Bref, la terre est dégelée et c’est donc l’occasion de se défouler un peu. Je vais donc rationnellement reprendre le nettoyage là où il y en a besoin. Et j’attaque par la partie Sud devant la maison. Ce soir, la moitié est nettoyée (2 brouettes de déchets au compost quand même). D’ailleurs, il déborde !
Une bonne raison pour remettre en état les plates-bandes : je compte les recouvrir de fumier de cheval. La moindre des choses est, auparavant, d’enlever les mauvaises herbes, enlever les tiges fanées et sèches de certaines vivaces etc.


Je pense, si le temps le permet, commencer à chercher du fumier dès demain, en tous les cas ces jours-ci. Je suis retourné voir ce matin le tas de fumier pour pouvoir réfléchir à la stratégie à utiliser pour remplir la remorque... Pas évident et avec un dessin ce sera plus clair.
Problème : alpinisme ou natation ?
Si j’attaque par la face Nord, je dois grimper et du haut du talus, viser la remorque.
Si j’attaque par le Sud, comme il y a plus de 10 cm d’eau (j’allais dire de couleur "caca d’oie" !), c’est le côté piscine. A défaut d’acheter un maillot de bain, je me suis racheté une paire de bottes.
Tout çà mérite réflexion, mais qu’est ce qu’il ne faut pas faire pour donner un peu de bonheur aux plantes !


Comme il ne fait pas excessivement chaud, le radiateur de la serre fonctionne en ce moment à plein régime. Il y a un thermostat qui permet de maintenir une température entre 8 et 13°C (environ). Depuis plusieurs jours, je fais brûler des grosses bougies quelques heures dans la soirée. Un petit côté sympathique et le peu de chaleur fournie est bienvenu.
Une fois les bougies consumées, il reste le fond et je me demande si on peut avec les restes, refaire des bougies. Si quelqu’un connait la méthode, il peut me la communiquer sur le forum. Je suis preneur.

Mardi 12



Toute la journée... (15 mm)
C’est vraiment le bor... là-haut !

Mercredi 13

Ouf, on peut mettre le nez dehors...
Je continue le nettoyage devant la maison. A cet endroit du jardin, il y a un gros problème : en bordure de rue, les arbustes (persistants bien sûr) ont pris de l’ampleur (surtout en hauteur) si bien que les premiers mètres derrière la haie sont à mi-ombre, ce que certaines plantes mises ici il y a plusieurs années n’apprécient pas trop. Il va donc falloir tailler sévèrement en fin d’hiver les arbustes défleuris pour faire de l’air... et enlever certaines plantes placées dans le jardin et qui n’ont plus leur place ici (notamment deux cistes).
Cet après-midi, çà me titillait d’aller chercher du fumier. Et j’y suis allé !
J’ai choisi le côté natation ! (voir plus haut)
"Il" m’avait bien dit "Faudrait y aller avec des bottes". Tu parles... il aurait dû dire avec des cuissardes ! Je m’attendais à 10 cm d’eau (quand je dis "d’eau", vous voyez ce que je veux dire !)... en fait j’ai dû patauger dans pratiquement 30 cm. Finir noyé dans du purin quelle horreur !
Mais j’ai rempli tout de même la remorque. C’est pas du fumier, c’est presque du terreau. Cà peut... parce que si quelqu’un m’a vu, il a dû se demander de quel asile je m’étais évadé.
Bien sûr, il flotte dans la voiture ("ma poubelle") une petite brise odorante qui vous débouche les narines mais qui sent bon la campagne...
La remorque a donc été vidée à plusieurs endroits et notamment là où j’ai nettoyé lundi devant la maison.
Je prendrai des photos la prochaine fois.

Jeudi 14

Plantation d’un Pennisetum alopecuroides : une graminée de plus.
Le nettoyage du même coin du jardin se poursuit avec la suppression d’une Ciste à floraison rose (il s’agit certainement de Cistus parviflorus). Elle était devenue trop volumineuse et surtout l’intérieur n’était que du bois mort. Par contre, je garde (pour l’instant) la Cistus x aguilarii (grandes fleurs blanches). Je pensais l’enlever mais j’hésite car, cherchant la lumière, elle a pris une forme amusante et peut être intéressante quand son pied sera habillé de vivaces dans les mois prochains. A voir… (mais je peux changer d’avis).

A gauche, la haie de clôture.
Au 1er plan Cistus parviflorus. Cà manque d’air !!!
Il reste un Teucrium fruticans et la Ciste aquilaria
Un nouveau coin à réaménager... avec des vivaces de mi-ombre. (la photo est prise dans l’autre sens)



Bouturage des deux cistes.


Sans le faire exprès, assez spécialiste des gestes malheureux, j’ai arraché une tige de la Clématite ’Eriostemon’ (une jolie clématite à petites clochettes bleu-violet).

Mais là, ô miracle, sur la tige il y avait de superbes racines… Direction la serre !

Il devrait y avoir bientôt une 2ème C. ’Eriostemon’ dans le jardin !

Vendredi 15

Nettoyage suite, vite interrompu par des problèmes de fuite d’eau… dans la maison. « Allo, Monsieur le Plombier… ». Ouf, problème résolu (chance que ce soit vendredi sinon, on était 2 jours sans eau !). Avec ce qui tombe dehors c’eut été un comble !

Dimanche 17

Le coin de jardin situé devant la maison fait à peine 150 m². Et pourtant c’est le 3ème après-midi où je travaille dedans.
La Veronica pedunculata ’Georgia Blue’ est une vivace couvre-sol assez envahissante, si bien que régulièrement il faut l’arracher d’entre les dalles du pas japonais qui va de la pelouse à l’entrée du bureau. Mais elle revient car elle a colonisé le coin. J’ai donc passé un bon moment à alimenter le tas de compost...
C’était aussi l’occasion detailler un Solanum "cavaleur" et un rosier ’Iceberg’ (suppression des vieilles branches. Depuis 2 ans, je pense avoir réussi à le rajeunir).
Suppression des cannes sèches du bambou Phyllostachys ’Aurea’ (du bois pour la cheminée).


Devant le bureau il y a une clématite ’Perle d’Azur’. Elle ne me satisfait qu’à moitié car elle fait beaucoup de feuillage et peu de fleurs. Elle a tendance à étouffer les rosiers et un Raphiolepis. Il faudrait peut- être enlever le pied et le mettre ailleurs (en écrivant cette phrase, je me dis que... à voir...). Bref, en nettoyant, j’ai récupéré 2 tiges enracinées. Elles ont été replantées dans le même trou dans un autre coin du jardin. Elle pourra grimper dans un bambou.
Oui, il n’est pas impossible que très bientôt le pied-mère de ’Perle d’Azur’ connaisse de nouveaux horizons...

lundi 18

Vous connaissez le lancer de marteau, le lancer de javelot et même le lancer de poids. Maintenant il faudra connaître le lancer de fumier de cheval !
Le matériel : une remorque, une fourche et des biceps d’athlète.
Les règles : Vous montez un talus… vous descendez de l’autre côté dans la zone où se trouve le fumier… vous remontez avec le maximum de fumier au bout de la fourche… et du haut du talus vous visez tant bien que mal la remorque sous le regard goguenard des chevaux du club d’équitation. Le but est de remplir la remorque dans le temps le plus court possible en évitant de glisser, car, bien entendu, le talus se recouvre vite de fumier. Et si vous glissez, c’est soit pour vous retrouver dans la remorque, soit dans la fosse à fumier… au choix !
Et j’y suis allé 2 fois. J’oubliais de dire qu’ensuite il faut vider la remorque à l’arrivée au jardin…
La 1ère remorque m’a permis de couvrir quelques bouts de plates-bandes un peu au hasard mais le fumier de la 2ème s’est retrouvé à l’avant de la maison, là où je nettoie depuis plusieurs jours.
Je me suis donc décidé à déplacer la clématite ‘Perle d’Azur’. Mais gros problème : elle a été plantée le même jour dans le même trou que le rosier grimpant ‘Mme Isaac Pereire’. Impossible d’enlever la motte entière ! Je le réalise trop tard si bien que la motte est coupée en deux. Il y aura donc 3 ‘Perle d’Azur’ : celle restant avec le rosier, les tiges plantées hier et la nouvelle plantée devant un Deutzia atropurpurea (normalement les floraisons doivent être simultanées début juin).

Mardi 19

Je suis retourné pour la 4ème fois chercher du fumier. J’avais envie de vous faire "visiter" le tas de fumier et vous faire partager mon problème.

Le tas est derriere la butte...
Le fumier vu du haut de la butte


Et vu de face !
Vous avez compris pourquoi j’ai des petits problèmes ? A certains endroits, il y a plus de 30 cm d’eau "colorée" !

Cà va, il y a de quoi faire !!!
Ce matin, une des personnes du club me suggérait de venir tôt le matin pour vider les box car ce serait plus pratique.
Non, merci, c’est gentil, mais moi Monsieur le matin je dors ! Et mettre cet horrible engin de torture qu’est le réveil, même pour aller chercher du fumier, c’est hors de question !
Donc j’escalade... et je m’exerce au tir...


Je continue à travailler devant la maison et cette fois pour tailler à 50 cm un Feijoa qui fait plus de 2,50 m. C’est certainement trop tôt pour le tailler (il faudrait attendre mars), mais tant pis. Il est devenu trop volumineux et est dégarni du pied. Je pense qu’il va repartir sinon ce ne serait pas une énorme perte car il ne fleurit pratiquement pas (vous n’êtes pas obligé(e)(s) d’ajouter que c’est par manque de chaleur l’été en Bretagne !).
Derrière le Feijoa, qui est en limite de propriété, il y a un petit espace vert. Il y a 20 ans, j’y avais planté des arbustes, dans le but de préserver ce coin de jardin des vents de la mer. Mais çà pousse un peu trop et en particulier un Elaeagnus qui fait de longues branches épineuses. Une calamité. J’ai commencé à y mettre de l’ordre (Qui qu’est l’chef ici ?), mais c’est long, d’autant plus qu’après il faut tout broyer (Feijoa + Elaeagnus).
Fin du broyage... sous un petit crachin !

Plantation d’un quinzaine de bulbes de Sternbergia lutea enlevés avant-hier. Il en reste au moins une trentaine ! Incroyable cette vitesse de multiplication ! Et dire que c’est un des bulbes les plus faciles à réussir, qui fleurit en début d’automne, bref qui n’a que des qualités... et que peu de gens connaissent ! Bizarre...

Mercredi 20

Y’a des jours qui se suivent et se ressemblent :
Taille (suite)
Broyage (suite)
Fumier (suite) : 5ème remorque.

Jeudi 21

Taille (suite) : j’ai donné un petit coup de taille-haie superficiel à un Choisya ternata et à un Jasminum humile (jasmin jaune qui fleurit fin juin). Ce n’est pas forcément le bon moment (car, comme je l’ai entendu ce soir à la TV : "... l’hiver qui n’en finit pas...". Et oui, il y en a même encore pour 2 mois !!!).
Broyage (suite). Je fais beaucoup dans le BRF ces temps-ci.
Mais pas de fumier ! Y’a des jours qui se suivent et ne se ressemblent pas tout à fait.

Vendredi 22

Quelle "feignasse" (orthographe non garantie)... Je voulais retourner chercher du fumier, mais le temps pourri m’a découragé (crachin, brouillard...). Même pas mis le nez dehors !
"T’es qu’une feignasse"... que j’me dis (oui, parfois j’me cause !).

Samedi 23

6ème remorque de fumier de cheval. Faut vraiment avoir envie parce que c’est sportif... Le nettoyage du jardin devant la maison est terminé et les plates-bandes sont recouvertes de fumier (il y en a d’autres à l’arrière évidemment car 6 remorques dans quelques m² ça ferait beaucoup !). Il me reste dans ce coin à planter quelques vivaces car j’ai enlevé tout ce qui ne me plaisait pas et limité l’extension de certaines plantes sans-gêne.
Début du nettoyage du trottoir situé devant.

Dimanche 24

Enfin une belle journée ensoleillée ! Mais le fond de l’air n’est pas chaud... on ne peut pas tout avoir.
Le trottoir est impeccable. Je récupère des touffes d’Ipheion uniflorum. Ca prolifère sur le trottoir alors qu’il n’y a même pas de terre ! Autant que le surplus fleurisse dans le jardin ! Les touffes récupérées permettent de meubler des petits coins inoccupés du jardin. C’est un de mes bulbes préférés, mais ne le répétez pas, je n’ai pas envie d’en voir dans tous les jardins !
En voulant transplanter des touffes d’Epimedium mal placées pour les planter dans une des plates-bandes à l’avant de la maison (au pied de la Ciste), j’ai cassé ma bêche. Pas le manche mais la bêche elle-même. Je m’y attendais... mais j’ai quand même poussé un gros juron que je ne vous répèterai pas !

Mardi 26

Une bêche toute neuve... Une brouette toute neuve... J’me la pète grave !
Aucune envie de jardiner vu le temps froid et humide. Cà tombe bien, j’ai de la visite.
J’ai tout de même pu récupérer les plants d’Epimedium et planter 3 touffes à trois endroits ombragés du jardin.

Mercredi 27



Jardinage sur le côté Ouest de la maison (l’endroit le plus ingrat du jardin : le vent qui vient tout droit de l’Atlantique).

Nettoyage et récupération de 3 marcottes enracinées d’un Rubus rampant à feuillage jaune (son nom ? je ne sais toujours pas. J’avais pourtant posé la question sur le forum mais il n’y a toujours pas la réponse). Elles sont replantées tout près des pieds-mères au pied de 2 rosiers ’Ghislaine de Féligonde’ et d’un rosier ’Evêque’.

3 beaux plants d’hellébores mal placés vont en rejoindre d’autres. Je préfère regrouper les hellébores plutôt que les disperser.

A propos d’hellébore, j’ai découvert aujourd’hui cette blanche double. J’aime... et vous ?

Jeudi 28

Le coin Ouest de la maison est nettoyé. J’en ai profité pour peigner les Stipa calamagrostis. Il ne faut pas raser les graminées persistantes. J’ai sorti ma brosse à chien. Super, elle enlève une bonne partie du feuillage jauni. C’est une graminée que j’aime beaucoup mais je me suis aperçu qu’elle ne vieillissait pas bien car elle sèche facilement. Mais heureusement elle se ressème abondamment.
Nettoyage d’un massif d’hellébores à l’arrière de la maison. Elles (ils… mais je ne peux pas) ne vont pas tarder à fleurir. Cela fait un an que l’on attend la floraison… autant que ce soit dans un environnement propre !

Vendredi 29


Nettoyage à l’arrière de la maison (plates-bandes au Nord). C’est un des coins où il y a un nombre non négligeable de plants d’hellébores. De plus en plus chaque année. 100 peut-être...
Je commence à vider un trou du compost (il est répandu sur la terre entre les plantes, mais vous connaissez la chanson...)

Samedi 30

Nettoyage d’une grande plate-bande. Avec mes petits plans, vous pouvez mieux comprendre ma technique de nettoyage. Si c’est pas du rationnel çà !
Le trou du compost est vide... en fait, ce soir, j’ai commencé à le remplir avec les déchets de l’autre trou. Il va falloir que je me décide à faire un article pour expliquer comment "JE" fais le compost. C’est-à-dire comment dans la pratique (et non la théorie) je le fais.

Dimanche 31

Gel le matin... pluie l’après-midi... neige le soir...
Jardin blanc le matin... jardin blanc le soir.
Et tout çà vous coupe net l’envie de sortir binette et sécateur.


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